السبت، سبتمبر 30

الاخبار العاجلة لحضور اليهوديبن جامين سطورا احتفالات ليلة عاشوراءاليهودية بقسنطينة ويدكران المؤرخ سطورا ان اليهود سيعودون الى قسنطينة كمسوف يعود الفلسطيننين الى القدس والاسباب مجهولة

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الاخبار   العاجلة لحضور  اليهوديبن جامين  سطورا احتفالات  ليلة عاشوراءاليهودية   بقسنطينة   ويدكران  المؤرخ سطورا ان   اليهود سيعودون الى قسنطينة  كمسوف يعود الفلسطيننين  الى  القدس والاسباب مجهولة
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الاخبار  العاجلة   لمنع جمعية هنا قسنطينةالثقافية  حضوراللقاء  الثقافيمع اليهوديبن جامين سطورا  من  التصوير   السينمائي والنقاش الثقافي   والحوار  السياسي ويدكران  عائلة مرداسي   اعلنت تاسيس  الديكتاتورية الثقافية صراحة  وشرالبلية مايبكي
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الاخبارالعاجلة لاكتشاف   حضور   اللقاءالثقافي   مع اليهوديبن جامين   سطورا    تحويل   اللقاءالثقافيالى عرس  عائلي    حيث   منعت   بنت مرداسي  الحضورمن تسجيل  الافيديوهات   ماعدا  الصور كما   فرض  المنشط  الثقافي  والد   البنت مرداسي    شروط نعجيزية في   النقاش   الثقافي    مما ارغم الحاضرين على الغضب   الثقافي  ويدكران قنوات  فرنسية   حضرت لتسجيل الحوار    الثقافي  بينما منع   الجزئاريين من تصويرشهادات   بن جامين ويدكران    بن جامين اعترف   ان  هجرة يهود   قسنطينة يعود الى جهلهم   بالمستقبل   الجزائري  ومن غريب  الصدف ان الاسئلة التي  طرحت   من طرف   اليهود مازالت  محورالجدل  السياسي  الجزئاري لقوله  
نحن غادرنا  الجدزائرلاننا  نجهل  من يحكم   الجزائر  \ 
والاسباب  مجهولة
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الاخبار  العاجلة لتحويل  بنت  مرداسي   لقاءثقافي   مع اليهودي   بن جامينالى عرس  عائلي   فيقاعة  الافراح حيث  منعت  تصوير اللقاء  بالكاميرات الشخصية   كما  سيطرت على  التقاش الثقافي    والاسبابمجهولة
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الاخبار  العاجلة   لاكتشاف   بن جامين   فضيحة  شخصية اثناء   تسليمه   شهادة تكريم   من طرف    جمعية هنا قسنطينة حيثاكتشف     ان سرواله كشف   عوراته للحاضرين والاسباب  مجهولة
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prend  lesimages  pas des videaux
بهده  العبارات    منعت    بنت مرداسي  الحاضرين من تصويرشهادات   تاريخية  نادرة   للمؤرخ   بن جامين سطورا    فيالخليقفة  اثناءتنظيم لقاء ثقافي   ووالد   مرداسي  يمارس القمع الثقافي  على الحاضرين اثناءالنقاش   الثقافي  والاسباب  مجهولة

 https://www.facebook.com/Houna-Qassantina-1347021222079542/
 https://www.facebook.com/events/282238485609356/




SEP30

Houna Qassantina. Les Rencontres de Constantine

Public
· Organisé par Houna Qassantina
  • clock
    samedi 30 septembre à 13:30 - 15:30 UTC+01
    il y a 4 heures
  • pin
    Palais De La Culture Mohamed Laid El Khalifa
34 y ont participé · 57 intéressé(e)s
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Détails
Rencontre avec l'historien Benjamin Stora sur son parcours personnel et professionnel


À faire suivre au maximum. Merci
"Soucieux du respect des formes les promoteurs de « Houna Qassantina » ont sollicité une audience auprès du directeur de wilaya de la culture auquel ils ont exposé leur démarche. Ils se sont alors félicité de la qualité de l’accueil et de la compréhension du directeur de wilaya de la culture qui les a assuré de son soutien et décidé de mettre à la disposition de « Houna Qassantina » l’une des salles du palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa pour le « Forum Constantinois » et « Les rencontres de Constantine ».
Sur la foi de cet engagement les promoteurs de « Houna Qassantina » avaient annoncé , de bonne foi, la programmation de leurs manifestations à Mohamed Laid El Khalifa et avaient été, pour le moins, surpris par le refus du personnel de la direction de wilaya de la culture d’assurer l’affichage des rencontres.
La veille de la première session du « Forum Constantinois » nous avons été pour le moins surpris par des exigences tout à fait inattendues du même directeur de wilaya de la culture sur une demande d’autorisation de la wilaya dont il n’avait jamais été question et du fait qu'il avait oublié nous a vous avoir donné son accord pour tenir les manifestation au Palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa.
Nous pouvons, à bon droit, nous interroger sur un revirement qui pouvait hypothéquer la reprise de notre programme et pour aussi inattendue qu’elle puisse paraitre, la question peut se poser de savoir qu’est ce qui dérange dans l’initiative de « Houna Qassentina ». Nos invités, sans exception, ont le droit de s’exprimer en toute liberté et cela sans égards particuliers pour des considérations de conjoncture .
Faisant le constat – forcément amer- de l’absence de réactions des autorités locales – APC –Wilaya- à leur initiative les promoteurs de « Houna Qassentina » affirment leur détermination de donner vie à une démarche qui puise aussi dans le patrimoine historique de la médina constantinoise.


 http://www.reporters.dz/index.php/actualites/2015-03-15-21-29-31/item/85774-l-espace-culturel-reprend-ses-activites-le-23-septembre-a-constantine-meriem-merdaci-houna-qassantina-pour-desenclaver-les-debats-d-idees





Les Zinzins du Café Riche vous donnent rendez-vous ce vendredi à partir de 22h.
Au programme :
1- Projection de la vidéo d'une compagne d'hygiène menée par Nassiba Khelifi sous le thème de " Think globally, Act locally ".

2- Une synthèse des précédentes soirées.

3- En toute liberté avec Sid Ali Bouaziz, Mahfoudh Benlakehal et Salah Daoud sur "Sama' El qassantini "(les confréries Soufi à Constantine).

4- Toute en musique avec Salah Daoud de la Zaouia Rahmanya de Constantine.

La soirée sera modérée par le Pr Abdelmadjid Merdaci.

Soyez les bienvenu(e)s.

 

FORUM DE CONSTANTINE

"Redécouvrir cheïkh Benbadis"

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Le professeur Abdallah Boukhalkhal, ancien élève de «Maâhad Benbadis», signalera à cet effet, l'abondance des travaux consacrés à Benbadis.
C'est acté depuis mardi soir: le «Forum de Constantine», second volet de l'initiative «Houna Qassentina» lancée en commun par la société d'édition «Les Editions du Champ libre» et l'association «Numidi-Arts» a désormais pris place dans l'espace culturel constantinois.
Le rendez-vous de vingt-deux heures au siège de l'Odej, mitoyen du quartier Kaddour Boumeddous, ex-Ciloc, aura été largement honoré et le public qui avait occupé les travées de la salle de conférences, attentif et pugnace lors des débats, a, sans ambiguïté, validé ce nouvel espace de rencontres et d'échanges.
La satisfaction des organisateurs du «Forum de Constantine» était aussi perceptible entre d'une part le pari tenu et d'autre part celle d'avoir «rétabli l'image de cheïkh Abdelhamid Benbadis, écornée par le long métrage qui lui avait été consacré», selon les termes de Mériem Merdaci, directrice des Editions du Champ libre.
Le choix de «Houna Qassentina» d'ouvrir le «Forum de Constantine» par le retour sur l'itinéraire du président de l'association des Oulémas et de proposer justement «un autre regard», comme l'indiquait le programme de la manifestation, s'il s'inscrit d'abord dans l'esprit du mois sacré du Ramadhan procède aussi du climat de polémiques et de critiques qui avaient suivi la présentation du film Benbadis.
Le professeur Abdallah Boukhalkhal, ancien élève de «Mahad Benbadis», ancien recteur de l'université islamique Emir Abdelkader, aura donné un lustre particulier à l'inauguration du «Forum de Constantine» à la fois par la qualité de la communication et par la dimension pédagogique de ses propos.
Il signalera, à cet effet, l'abondance des travaux consacrés à Benbadis et reprendra à son compte l'assertion du professeur Belkacem Saâdallah qui faisait de Benbadis «l'homme le plus important de la première moitié du vingtième siècle».
Rappelant d'abord l'ascendance de cheïkh Abdelhamid Benbadis, le conférencier a mis en exergue les principales étapes de sa formation intellectuelle puis détaillé les différentes facettes de l'engagement de l'homme, déclinant ses contributions de publiciste - notamment au travers des titres El Moutaqid et Echiheb - d'animateur de l'islah, soulignant en particulier son opposition résolue au système colonial.
Les débats auront été à la hauteur de la qualité de la communication du professeur Boukhalkhal et le positionnement de Benbadis sur la question nationale, ses rapports avec les principaux acteurs du Mouvement national, son influence notable sur le mouvement associatif musulman, auront largement été revisités.
Le professeur Boukhalkhal donnera aussi lecture de la plateforme pour une Constitution musulmane rédigée par le cheikh, découverte dans les archives de l'université de Virginie, d'une étonnante modernité politique qui laissera ouverte la troublante question du décès du président de l'association des Oulémas. Quelle foi accorder, en effet, à la thèse de son empoisonnement?
L'assistance comme le conférencier se sont séparés sur la conviction partagée d'un Benbadis qui reste à redécouvrir.

«Les Khouans» chez les zinzins du café riche
Pour l'ultime session des «Zinzins du café riche», qui auront égayé le Ramadhan constantinois, pouvait-il y avoir meilleure affiche que la mémoire revisitée de la tradition des zaouïas de la médina? De la Rahmanya à Hansala en passant par la Quadria, La Tayebbya ou la Tidjania seront ainsi évoqués les enseignements, le sama'a et les rites des confréries versus Constantine. Signalons enfin que «Les zinzins du café riche» comme «Le Forum de Constantine» reviendront à la rentrée.


 http://mobile.lexpressiondz.com/culture/269749-houna-qassentina-est-l-exemple-a-suivre.html

NOURI NESROUCHE, JOURNALISTE, À L'EXPRESSION

"Houna Qassentina est l'exemple à suivre"

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Responsable du bureau constantinois de notre confrère El Watan, Nouri Nesrouche est, à la ville, un mélomane averti et notamment l'un des animateurs de l'expérience alors inédite d'une grande manifestation culturelle portée par la société civile. Il avait été invité à rendre compte de l'aventure de «Dimajazz» chez «Les zinzins du café riche». Il revient ici, sur cette rencontre et ses enseignements.

L'Expression:
Vous aviez été l'un des premiers à soutenir l'initiative commune de Numidi Arts et des Editions du Champ libre. Qu'est-ce qui détermine ce soutien?
Nouri Nesrouche: En tant que journaliste, mon devoir est d'être à l'écoute de la moindre pulsion de la société, et l'initiative portée par l'association Numidi-Arts et les Editions du Champ libre traduit parfaitement cet élan qu'il faut impérativement capter, suivre et mettre en valeur. Les zinzins du café riche, ont su saisir le déficit local en espaces culturels pour y répondre avec pertinence. La qualité du produit en est la preuve alors qu'on est seulement à trois éditions.
Maintenant, en tant qu'acteur culturel et simple citoyen jaloux de sa ville, il m'est tout aussi naturel d'aller vers les actions culturelles locales à la recherche de nourriture spirituelle pour moi-même et aussi pour apporter ma contribution.

L'argumentaire de «Houna Qassentina» met en exergue l'état de déshérence du champ culturel constantinois. Partagez-vous ce sentiment?
Je partage entièrement ce constat et comme vous dites, la double initiative «Houna Qassentina» ne peut que mettre à nu cette réalité locale. D'autres espaces culturels, et ils sont rares, fonctionnent aussi comme un miroir de la vérité où viennent se briser les discours et les bilans officiels. La vie culturelle est réduite à sa plus simple expression à Constantine en dépit des moyens et des objectifs tracés dans le cadre de «Constantine, capitale de la culture arabe». La wilaya n'a vu naître aucune dynamique à la suite de cette manifestation gigantesque, à croire que cela n'a servi à rien. Avec la crise économique et la réduction sévère des budgets de la culture, les professionnels et les militants associatifs doivent compter sur eux-mêmes et leur ingéniosité. C'est là où «Houna Qassentina» devient un exemple à suivre. Nous sommes déjà dans le «nouveau modèle culturel» prôné par le gouvernement. Si les projets culturels sont formulés intelligemment et réussissent à mobiliser des mécènes, comme c'est le cas pour cet espace, le paysage va changer radicalement.

«Dimajazz» a déjà une longue histoire. Qu'aviez-vous ressenti à en exposer les grandes étapes et les véritables enjeux?
J'avais besoin de parler au public constantinois et faire part des enjeux actuels. Naturellement, j'ai ressenti beaucoup d'émotion à le faire, mais j'ai découvert aussi une grande sensibilité chez l'assistance à l'égard de la problématique exposée. Ce festival est un patrimoine collectif, un bien commun à toute la population constantinoise, et je dirais même algérienne, et c'est notre devoir de faire part des situations difficiles. Dimajazz est une exception s'agissant d'un festival émanant de la société civile et devenu un fleuron du grand spectacle en Algérie. C'est ce qui explique sa relation forte avec la ville et son public en général. Ce que j'ai ressenti ce soir ne fait que confirmer cette idée.

Comment avez-vous reçu les témoignages spontanés de solidarité de l'assistance lors des débats?
Je n'ai pas douté un instant de la solidarité du public constantinois à l'égard du Dimajazz et je crois à la sincérité et la force de toutes les offres et les propositions. Les nombreux témoignages exprimés lors de cette rencontre confirment mes convictions, mais interviennent aussi à un moment où nous avons besoin de la mobilisation de tous pour empêcher des scénarios catastrophes et déjouer la menace de disparition qui pèse sur le festival. Et je crois que les Constantinois nous ont clairement signifié que nous ne serons pas seuls dans notre combat pour la pérennité du festival.

Justement, où en est Dimajazz aujourd'hui et qu'en est-il exactement du feuilleton du financement?
La situation est assez compliquée. En 2016 notre dotation ministérielle a été divisée par quatre ce qui a sérieusement impacté l'édition. Pour 2017, nous attendons de notre tutelle davantage de soutien.
Il faut savoir que dans sa catégorie, celle des festivals internationaux, Dimajazz bénéficie, depuis le début, de la plus modeste des dotations, et malgré cela, nous avons pu réaliser des éditions de haute facture artistique et technique. Ceci dit, des coupes sévères vont assurément nous renvoyer à nos débuts et gâcher la position acquise.
Le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi, a rassuré que les festivals internationaux sont la vitrine de l'Algérie et que par conséquent, l'Etat ne va pas les lâcher. Nous espérons que c'est le cas pour Dimajazz qui a toujours honoré ses contrats et avec l'Etat et avec son public. Nous en sommes à la quinzième édition de notre festival et nous avons réussi à lui tailler une réputation que nous envient de nombreux organisateurs dans des pays qui ont de l'avance dans le domaine. Quand nous participons à des rendez-vous internationaux d'organisateurs de festivals, nous y allons la tête haute, parce que notre expérience est connue et respectée. Une réputation que nous avons forgée par la passion, le savoir et le savoir-faire. Renoncer aujourd'hui à ce festival équivaut à un suicide culturel, et l'abandonner de manière brutale risque, en tout cas, de lui être fatal.

A quand et où devrait se tenir la prochaine session?
En attendant la stabilisation de la situation et un retour du Dimajazz au printemps autour de la Journée mondiale du jazz, l'édition 2017 est prévue pour la fin d'année. Quant au lieu, nous manquons encore de visibilité en attendant de connaître l'engagement du ministère et celui des autorités locales. Nous espérons que cet acquis produit de la passion et du don de soi, irrigué au sang de ses deux membres décédés, Aziz Djemame et Adel Merrouche, ne soit pas perdu. D'ailleurs, cette année nous comptons rendre hommage à Adel Merouche, disparu voilà dix ans lors d'une mission pour le festival.



Houna Qassantina remercie ses partenaires des médias présents aujourd'hui lors de la conférence de presse pour le lancement de la 2ème édition de ses activités.
En effet, Houna Qassantina reprend ce samedi 23 septembre avec le 2e numéro du "Forum constantinois " avec une conférence de Mr Zouaoui Benamadi, président de L'ARAV - L'Autorite de régulation de l'audiovisuel- à partir de 14h au Palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa.
Un nouveau volet sera lancé le samedi 30 septembre, "Les rencontres de Constantine ", sous forme d'entretien avec l'historien de renommée internationale Benjamin Stora.
Quant au "Zinzins du Café Riche " la reprise sera pour le samedi 30 septembre à partir de 17h sous le thème "les médias et l'édition " en présence de Frédérique Pons, une des responsables de la communication de la maison d'édition Albin Michel.
Plus de détails vous seront communiqués ultérieurement.
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 http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/113845

Houna Qassantina : décidée à se faire entendre

Après une trêve méritée, le mois du ramadan ayant été bien rempli, les agitateurs culturels que sont l’association Numidi-Arts et les Éditions du Champ libre sont de retour avec un programme consistant, conçu sous forme de trois espaces de rencontre à l’enseigne Houna Qassantina, « reprise de l’historique annonce des programmes de décrochages constantinois de la station d’Alger de radiodiffusion ».
PUBLIE LE : 18-09-2017 | 0:00
D.R
Après une trêve méritée, le mois du ramadan ayant été bien rempli, les agitateurs culturels que sont l’association Numidi-Arts et les Éditions du Champ libre sont de retour avec un programme consistant, conçu sous forme de trois espaces de rencontre à l’enseigne Houna Qassantina, « reprise de l’historique annonce des programmes de décrochages constantinois de la station d’Alger de radiodiffusion ». En premier, le Forum constantinois, d’une périodicité mensuelle, se présente sous la forme classique de conférence/débat, et s’ouvre aussi bien sur des questions académiques que sur l’actualité, avec l’objectif d’«offrir un cadre d’échanges adossé à l’expertise». Ensuite, les Zinzins du Café Riche (établissement mythique situé à la Casbah), également programmé tous les mois, évènement qui s’articule autour de trois séquences :
« La semaine de l’invité », dont l’objet est de permettre à celui-ci de commenter l’actualité – nationale et internationale –, « En toute liberté », une rencontre thématique culturelle, artistique, patrimoniale, qui ouvre droit au débat entre un invité et le public, et enfin « Tout en musique », une sorte de postlude pouvant convoquer différentes couleurs musicales. La nouveauté, ce sont les Rencontres de Constantine, lesquelles se dérouleront sous forme d’entretiens, et feront appel à des personnalités venant d’horizons divers pour parler de leur parcours. Contrairement aux deux autres évènements, ces rencontres seront organisées au gré de la disponibilité des personnalités sollicitées. À tout seigneur tout honneur, c’est l’historien Benjamin Stora, enfant de Constantine, qui ouvrira le bal, le 30 septembre au niveau de la maison de la Culture Mohamed Laïd Al Khalifa, lieu préféré au palais de la Culture Malek Haddad en considération de sa localisation « en plein cœur de la ville, ce qui devrait permettre à la manifestation une plus grande visibilité », dixit Lounis Yaou, président de Numidi-Arts. C’est pour cette même raison, en plus des commodités qu’offre Al Khalifa, que le Forum de Constantine, qui se tenait auparavant au siège de l’ODEJ, a été délocalisé audit établissement. Au sujet de cet événement, il devrait accueillir, dès samedi prochain, le président de l’Autorité de Régulation de l’Audiovisuel (ARAV), Zouaoui Benhamadi, qui parlera du rôle de cette dernière et des enjeux auxquels elle devra face avec l’ouverture du secteur au privé. Le 21 octobre, et à l’occasion de la célébration du 63e anniversaire du déclenchement de la Révolution, ce sera au tour de Rabah Zerari, plus connu sous son nom de guerre du Commandant Azzedine, d’apporter son témoignage sur l’histoire de la Guerre d’indépendance. Enfin, l’archéologue Abderrahmane Khelifa donnera une conférence, le dernier samedi du mois de novembre, sur le thème « Constantine : une histoire de long cours ». Lors de la rencontre avec les médias, tenue samedi dans leur fief du Café Riche, Lounis Yaou et Meriem Merdaci, directrice des Éditions du Champ libre, ont précisé que c’était l’accueil réservé, au mois de ramadan passé, au Zinzins du Café Riche et au Forum de Constantine, qui les a confortés dans leur démarche, celle de créer de nouveaux espaces où primeront la parole, car « Constantine a des choses à dire à l’Algérie et aux Algériens, et les Algériens des choses dire à partir de Constantine », mais aussi l’écoute de la parole de l’autre. Les deux promoteurs de Houna Qassantina ont également fait montre de leur souhait de voir davantage de personnes s’impliquer dans l’organisation de cette manifestation, laquelle « appartient à tous les Constantinois », notamment sur le plan du sponsoring, les opérateurs économiques ne manquant pourtant pas à Constantine.
Issam B.


Venus Katouchka Grand merci
Pour cette communication
Tout dérange. Quand il s'agit de culture,,,,
 Aucun texte alternatif disponible.
 https://fb-s-b-a.akamaihd.net/h-ak-fbx/v/t1.0-0/s480x480/21686182_1448903915224605_8251779164658967949_n.jpg?oh=ae565d3a3e6a1316bd5f4a78301b45c8&oe=5A45944F&__gda__=1518518497_7683559c5d0c3cdfc46341069906ab61
 jeudi, 21 septembre 2017 06:00

L’espace culturel reprend ses activités le 23 septembre à Constantine : Meriem Merdaci : « Houna Qassantina pour désenclaver les débats d’idées »

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Après une courte et dynamique période d’essai durant le ramadhan dernier, Houna Qassantina passe au long cours et s’apprête à lancer officiellement ses activités pour la saison 2017-2018 avec un programme comprenant aussi bien le cinéma, le théâtre que la littérature, ainsi qu’un panel d’invités parmi les plus en vue de l’actualité nationale et internationale. Le pari est de redonner à Constantine sa vocation de haut lieu culturel. Entretien.

Reporters : Houna Qassentina démarre dès cette année un nouveau programme après une période d’essai durant le ramadhan dernier. D’abord quelle impression de cette période de «chauffe». Vous conforte-t-elle dans toutes vos ambitions?
Meriem Merdaci : En marge des «Zinzins du café riche», le ramadhan dernier, s’esquissait aussi une réflexion sur cette problématique de relance de la scène culturelle constantinoise et plus largement de sa connexion au champ culturel national. En effet, le bilan des «Zinzins du café riche» est très positif du point de vue de l’affluence du public à toutes les soirées, de la diversité des invités et des thèmes, de la demande incessante pour reprise de ces activités.
L’expérience des «Zinzins» nous a conforté et a clairement révélé une attente et une disponibilité auxquelles les initiatives du «Forum Constantinois» et des «Rencontres de Constantine» aspirent à répondre.

Samedi dernier, vous avez fait un point de presse sur le programme 2017-2018. Quels seront les axes de ce programme et quels sont les éléments qui ont pesé dans son choix ?
La rencontre avec la presse était à notre programme et nous voulions aussi dire notre reconnaissance à tous les médias qui nous avaient accompagnés. Nous avons rappelé, à cette occasion, dans une déclaration liminaire, que « Constantine avait des choses à dire à l’Algérie et aux Algériens et que les Algériens avaient des choses à dire à partir de Constantine». C’est ce qui marque le programme dont nous avons exposé les détails.
L’objectif de Houna Qassantina est d’élargir le plus possible le spectre de la réflexion et ouvrir le débat sur différents questionnement qui peuvent interpeler les Constantinois et les Algériens.
Pour cette reprise le programme est assez varié avec différents thèmes qui vont du cinéma, à l’histoire de la guerre d’indépendance, l’archéologie, l’urbanisme, la littérature, l’artisanat, l’art plastique et nous sommes ouvert à toutes les propositions pouvant enrichir ces évènements.
D’une périodicité mensuelle, les trois axes de Houna Qassantina, commenceront ce samedi 23 septembre, à raison d’une fois chaque milieu du mois pour «Les zinzins du café riche» et par alternance, chaque fois du mois pour «Le forum constantinois» et «Les rencontres de Constantine».

Peut-on avoir une idée sur quelques-rendez-vous importants en ce qui concerne les personnalités que vous allez inviter et pourquoi les inviter, justement ?
A nos yeux tous les rendez vous sont importants précisément par la diversité de leurs registres et la complémentarité de leurs apports. Faire venir et débattre à Constantine des acteurs majeurs comme le Cdt Azzeddine ou le Dr Said Saâdi, Benjamin Stora ou Rachid Boudjedra ou bien encore Nacer Boudiaf traduit notre souci de désenclaver d’une certaine manière les débats d’idées, de les décentrer au contact du pays profond.
Nous aurons aussi le plaisir d’accueillir Frédérique Pons, une des responsables de la maison d’édition Albin Michel, pour nous parler de l’édition et des médias.
Il s’agit aussi de donner la possibilité aux personnalités et acteurs de la ville de Constantine de se faire connaître et de faire connaître leur travail et leurs préoccupations, comme se sera le cas aux «Zinzins du café Riche» avec l’urbaniste et architecte Noureddine Khelfi, l’artisan dinandier Driss Amin Khoudja.
Sans oublier la note musicale qui se déclinera entre le malouf, le zedjel, le chaâbi et le gnawi.

Pendant votre démarrage, il y a une partie de l’événement qui a été expérimentée : les «zinzins du café riche». Il reste que la partie «académique», disons, avec «Le forum constantinois» lancé au mois de Ramdhan. Comment l’appréhendez-vous ?
Seules «Les rencontres de Constantine» n’ont pas encore démarré et cela sera fait le 30 septembre prochain avec l’accueil de Benjamin Stora, historien de renom, qui se livrera lors d’un entretien public sur son parcours et notamment son enfance constantinoise. Le second invité, et pas des moindre, sera le sculpteur et artiste plasticien Ahmed Benyahia qui se livrera au même exercice.
Le «Forum constantinois» avait déjà pris place fin ramadhan avec un remarquable retour sur l’itinéraire de Cheikh Benbadis proposé par le Pr Abdallah Boukhalkhal, ex recteur de l’université islamique El Amir Abdelkader. Ce même espace accueillera, au Palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa, ce samedi 23 septembre le célèbre réalisateur Bachir Derrais qui nous parlera, en avant première, de son dernier film sur Larbi Ben Mehidi, nous aurons aussi l’honneur d’y accueillir le Cdt Azzedine pour un témoignage sur la guerre d’indépendance ainsi que l’archéologue et chercheur Abderrahman Khelifa qui nous parlera de ses recherches sur la ville de Constantine.

Sans sponsoring et investissements d’opérateurs au fait des enjeux culturels, sociétaux et politiques que vous abordez, il vous sera sans doute difficile d’honorer confortablement tous les rendez-vous et les questions que vous souhaiteriez aborder. On imagine que vous avez songé à cette question, non ?
Biens sûr que ces questions nous occupent, mais nous parions sur l’impact des manifestations et sur leur intérêt pour la promotion de l’image de Constantine. Et puis nous comptons sur les médias pour susciter des soutiens.
Pour le moment, nous avons deux soutiens très important qui sont Messieurs Benbouhedja qui nous ont gracieusement cédé l’espace du café riche et la famille Boulefkhad, propriétaire de l’hôtel Hocine, chez qui nos invités seront pris en charge.
Sans oublier les mécènes qui nous ont aidés au mois de ramadhan ainsi que toutes les personnes impliquées avec nous dans notre aventure, chacun avec ses moyens, comme c’est le cas pour la sonorisation, l’enregistrement audiovisuel, les jeunes qui s’occupent de la communication.
Tout cela n’aurait pas été possible sans le travail fidèle des médias qui nous ont suivi du début et qui sont nos partenaires dans cette aventure et qui seront aussi nos invités dans notre programme.

L’enjeu, semble-t-il, est de redonner à Constantine sa place de cité au sens de citas et de lieu de débat et de réflexion....Y a-t-il possibilité d’implication des autorités de la ville et de ses collectivités ?
«Houna Qassantina» veut se construire sur l’adhésion, la promotion du débat d’idées et n’a pas vocation à exclure y compris les autorités de la ville. Nous avons, cette fois, sollicité la direction de la culture de la wilaya de Constantine et nous avons eu toute l’aide espérée de la part du directeur, M. Zitouni, que nous tenons à remercier.
Nous espérons impliquer tous les organes qui pourront apporter un plus à Houna Qassantina et part ricoché à Constantine et l’Algérie plus largement.

Un mot sur votre état d’esprit avant de donner à nouveau de la voix à Houna Qassentina...
Le sentiment d’un devoir à accomplir et la volonté d’y parvenir. Houna Qassantina veut porter haut et fort le drapeau de l’espoir et de la détermination d’une Algérie toujours debout. 
Recueillis par Farid Aïnouche


































































































































https://www.facebook.com/Iciconstantindz2016/photos/a.1830372980526714.1073741826.1830370633860282/2009374639293213/?type=3&theater

هذه الصورة تعود إلى سنة 1905 حيث كان سكان قسنطينة يدخلون المدينة عبر جسر الشيطان قبل أن يبنى جسر سيدي راشد و جسر سيدي مسيد.


https://scontent-mrs1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/22007819_2009374639293213_2620562413510260720_n.jpg?oh=dcddbc4b18ea20d17f3f3052824d493f&oe=5A48FD6D