الثلاثاء، أبريل 22

الاخبار العاجلة لخروج رجال الشرطة الجزائرية الى الشوارع الجزائرية الشعبية انتظرا لقدوم الربيع العربي الى الدولة الجزائرية النائمة في الخريف العربي والاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان ان اعمدة كاميرات المراقبة الامنية المشيدة في شوارع مدينة قسنطينة  توضع في السجون  لمراقبة المساجين في  البلدان الاوروبية ويدكر ان امدة كاميرات المراقبة الامنية جعلت شوارع قسنطينة تشبه سجون اوروبا  القديمة ويدكر ان اعمدة كاميرات المراقبة الامنية الحديدية انتقلت من ملعب حملاوي الى شوارع قسنطينة ليكتشف زوار قسنطينة ان مدينة قسنطينة سجن اجتماعي مفتوح  على ماسي قسنطينة الضائعة والاسباب مجهولة 
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الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين ان رجال الشرطة الجزائرية خرجوا الى الشوارع الجزائرية مند النتائج الانتخابية الرئاسية بحثا عن الربيع العربي القادم من الاراضي الفرنسية ويدكر ان  عبارة الربيع الربيع اصبحت رجال الشرطة الجزائرية في الشوارع الجزائرية فهدا الربيع العربي لسيارات الفرود وداك الربيع العربي لعاهرات الشوارع الجزائرية وتلك اكلات الربيع العربي في المطاعمالجزائرية وشر البلية مايبكي 
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الاخبار العاجلة لوضع كاميرات مراقبة السجون  الاوروبية  لمراقبة  تحركات سكان قسنطينة ويدكر ان كاميرات مراقبة سكان قسنطينة الامنية  وضعت امام شرفات العمارات وامام مواقف السيارات ليكتشف سكان قسنطينة انفسهم مساجين بين كاميرات مراقبة المساجين في البلدان  الاوروبية وشرالبلية مايبكي 
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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة تحويل  دار الخليفة بقسنطينة الى سجن الخليفة  في اطار تظاهرة قسنطينة عاصمة السجون الثقافية 2015والاسباب مجهولة 
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 الاخبار العاجلة لخروج  رجال الشرطة الجزائرية الى الشوارع  الجزائرية الشعبية انتظرا لقدوم الربيع العربي الى  الدولة الجزائرية النائمة في الخريف العربي والاسباب مجهولة









































































































Malgré les retards: Le Transrhumel sur la bonne voie
par A. M.
Le pont transrhumel n'a pas été ouvert pour le 16 avril dernier comme cela avait été envisagé un moment. Et pour cause, l'arrivage de la matière isolante contre les infiltrations d'eau qui doit être placée sur le tablier avait connu du retard. En sus, quelques jours avant cette date symbolique, un glissement de terrain et des infiltrations d'eau ont été repérées au niveau du pylône 4 et des travaux de confortement ont été lancés dans l'urgence à cette partie de l'ouvrage pour parer à toute éventualité.

Selon les informations que nous avons recueillies hier de différentes sources, notamment auprès du maître de l'ouvrage, la Direction des Travaux publics de la wilaya, la première livraison de la fameuse matière isolante vient d'arriver sur le chantier et les travaux de pose ont commencé aussitôt. « Cette opération ne posera aucun problème et au fur et à mesure des arrivages le tablier sera couvert et la livraison pourra se faire », nous a déclaré hier M. Aber, chef de service des infrastructures de base à la Direction des Travaux publics. En ce qui concerne les travaux lancés au P 4, notre interlocuteur a été rassurant et a déclaré que ceux-ci «se poursuivent encore et sont en bonne voie». Et l'information ne pourra que réconforter les citoyens qui constatent chaque jour les avancées réalisées dans le chantier, à l'instar des bretelles sur la route nationale n°3 au niveau du Chalet des Pins qui sont pratiquement terminées.

Interrogé également sur les travaux de la route reliant le pont au rond-point de la cité Ziadia, le même responsable répondra que ce chantier sera livré à la fin de l'année 2014, comme cela est prévu dans le contrat. Et, en ce qui concerne la bretelle devant relier le pont à l'autoroute Est-Ouest à partir du rond-point de Ziadia, M. Aber a affirmé que ce projet constitue un marché distinct de celui du Transrhumel. «C'est un marché à part, dit-il, et dès la réception du tronçon El-Fedj/Ziadia, la soumission sera lancée».

En ce qui concerne le prolongement vers l'aéroport Mohamed-Boudiaf de Ain El Bey, M Aber avait indiqué auparavant que ce projet n'avait pas encore bénéficié de l'enveloppe financière à délivrer par le gouvernement et le lancement de ce chantier demeure, donc, à l'état de projet.

Projet du palais des expositions de Zouaghi

Les travaux au point mort

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le 16.04.14 | 10h00 2 réactions
 
 Une année nous sépare du rendez-vous fatidique de 2015
| © el watan
Une année nous sépare du rendez-vous fatidique de 2015

Au fur et à mesure de l’avancement des chantiers, l’on s’aperçoit que les projets ont été lancés dans la précipitation au niveau central, ce qui ouvre la voie à tous les dépassements.

Rien n’a, semble-t-il, changé sur le chantier du projet du palais des expositions de Zouaghi, depuis la dernière visite de la ministre de la Culture Khalida Toumi à Constantine, le 31 mars dernier, suivie par celle du wali une semaine plus tard. Ainsi, les plans d’exécution du projet qui devaient être ramenés d’Espagne pour être avalisés par les services du contrôle technique des constructions (CTC), ne sont toujours pas ramenés. Un contretemps qui cause des soucis aux autorités et que ni le représentant du CTC, ni le représentant du bureau d’étude n’ont pu justifier.
D’un autre côté, l’entreprise de réalisation, très soucieuse de la signature du contrat-programme, a tenté de scinder le projet en deux parties : la fourniture et la pose de la charpente qui doit abriter la structure, mais elle a essuyé un refus catégorique de la part de la Dlep. Cette dernière a mis en garde contre une telle procédure. «Vous devez savoir que la charpente a des caractéristiques particulières et seule cette entreprise, de par le brevet qu’elle détient dans ce domaine précis, ne peut en cas d’impondérables sous-traiter avec une autre entreprise, en un mot, le contrat doit resté uniforme», expliquera le Dlep.
Devant cette affirmation sans équivoque, les représentants de l’entreprise ont argué le motif des paiements qui risque de les pénaliser en cas de retard. Pour les rassurer, le wali dira : «Vous serez payés mensuellement selon l’état que nous fournirez, mieux, nous sommes en mesure de vous accorder une avance de l’ordre de 50% mais à charge pour vous de nous remettre tous les documents y afférents.» C’est le même état d’esprit qui a prévalu au niveau du musée d’histoire et des arts où les plans n’ont, jusqu’à ce jour, pas été remis, alors que le bureau d’étude et de réalisation parle de paiements, un non-sens que le wali et le Dlep ont mis en exergue pour un ultime rappel d’une réglementation qui ne doit en aucun cas être transgressée. C’est un cadre de la wilaya qui nous fait cette remarque lourde de sens, contre les autorités centrales qui ont pris les choses à la légère pour avaliser n’importe quoi et n’importe comment.
Il nous dira dans ce sens : «Heureusement qu’il y a toutes ces visites et ce suivi rigoureux, cela nous a permis d’agir dans le strict respect de la règlementation car les crédits sont astronomiques, outre le fait que les travaux ont été entamés dans une précipitation qui peut générer des bourdes et autres dépassements.» A une question sur la participation des architectes étrangers, qui n’ont pas été agréés par le conseil de l’ordre des architectes, comme stipulé par la loi régissant cette catégorie professionnelle, le wali dira: «Ceci ne me concerne pas, c’est aux instances nationales d’y répondre, mais il faut savoir que les architectes étrangers retenus, travaillent dans le cadre d’un groupement avec une participation algérienne, ce qui enlève de facto cette notion d’étranger.» Et d’ajouter : «En tout état de cause, cet aspect juridique ne relève pas de mes compétences. A contrario, je vous informe que nous disposons d’architectes algériens qui procèdent au suivi de tous les projets inscrits et je suis en mesure de vous fournir leur liste nominative.»
                        

A. Benamar
 
 
Vos réactions 2
L'échotier   le 18.04.14 | 16h48
Au fait
si quelqu'un peut me dire s'il existe un projet, une action, un programme ou tout autre thème qui ne serait pas au point mort à Constantine ou dans le reste du pays, je prends. Et pourtant le pouvoir corrompu qui tient ce pays, vient de nous infliger encore une période de quatre ans d'immobilisme et de trahison, avec une momie. Bouteflika, depuis son AVC, n'est plus âgé de 77 ans, mais de 120 ans.Comprendre qui pourra avec ce peuple lobotomisé.
 
simsim   le 16.04.14 | 11h31
capitale de la culture!
Actuellement,la ville de Ibn Badis est un grand chantier interminable qui risque de durer longtemps ;par conséquent,il est demandé aux responsables exécutifs de veiller personnellement sur les projets afin qu'ils soient livrés dans les délais prévus c'est la condition sine qua non pour concrétiser tous ces projets.Les compétences algériennes doivent être encouragées afin d'avoir plus de confiance et d'expérience.
 






بعد نصف شهر سيتم البث في ملف الترحيل بالعاصمة˜

عبد الحكيم بطاش رئيس بلدية الجزائر الوسطى للمحور اليومي


صرّح رئيس بلدية الجزائر الوسطى عبد الحكيم بطاش للمحور اليومي، أن عملية الترحيل الكبرى التي ستشهدها العاصمة سيبث فيها بعد حوالي 15 يوماً، مشيرا إلى أن جميع المعطيات حول عملية إعادة الإسكان هي على مستوى الولاية.
أكد المسؤول الأول ببلدية الجزائر الوسطى أن الفصل في عملية إعادة الإسكان تعود إلى المسؤول الأول بالولاية، و الذي بحوزته كل المعطيات من عمليات إحصاء للسكنات الهشة والقصديرية بالعاصمة، كما أنه يملك تفاصيل وضعية السكنات المنجزة، والمبرمج ترحيل أصحاب السكنات القصديرية إليها.
وفي سياق متصل كشف نفس المسؤول أن كل هذه الإجراءات تكون بعد أداء رئيس الجمهورية لليمين الدستوري، أي أن ملف السكن من بين الملفات التي تحظى بالأولوية.
صليحة خليفة


جريدة صدى وهران: حلال عليهم… وحرام علينا

2011/09/21
جريدة صدى وهران: حلال عليهم... وحرام علينا
نشر الصحفي سفيان عبداللطيف في جريدة “صدى وهران” الصادرة اليوم الأربعاء 21 سبتمبر لفتة قيمة عن غياب أنور مالك بمناسبة المعرض الدولي للكتاب حيث يتم توزيع كتابه عن المخابرات المغربية وآخر عن أسرار الشيعة والإرهاب في الجزائر.

حلال عليهم… وحرام علينا
يحرم الكاتب الصحفي و المعارض الجزائري “أنور مالك” من الحضور و المشاركة في توقيع كتبه بمعرض الكتاب الدولي الذي تحتضنه الجزائر بسبب تواصل مسلسل الدعاوي القضائية التي تلاحقة و تقف حائلا دون عودته إلى أرض الوطن مكتفيا باستغلال مختلف المنابر الإعلامية التي يتواجد فيها من أجل الدفاع عن بلد الأجداد و على النقيض من ذلك سيكون عرّاب الثورات العربية الذي يدعي بأنه صحفي ليمارس أجندة صهيونية لم تعد خفية و هو من قال أمام الكنيست “نجحنا في خلق عدو جديد لدى الشعوب العربية يتمثل في رؤسائهم ، إنهم يكرهون اليوم رؤساهم أكثر من كرههم لإسرائيل ، قبل أن يطمئن الجميع بأن اسرائيل ستنعم بالطمأنينة من ناحية جيرانها العرب لمدة نصف قرن حسب توجهاته حاضر في هذا المعرض وسط اشمئزاز جزائري كبير خاصة بعد أن أحبطوا ثورة 17 سبتمبر التي كان أحد أهم مخططيها . صدى وهران اختارت أن تنقل لكم شهادة الدكتور أنور مالك التي نشرها على صفحته في الفايسبوك و التي يقول خلالها : أحرم من الجزائر التي دافع عنها أهلي في ثورة التحرير المباركة، وواصلت الرسالة بالداخل ثم في المنفى الإجباري، وتصديت للمؤامرات وغامرت بحياتي لكشفها ووقفت في وجه الإعصار لأجلها وحيدا من دون دعم أحد، ومؤلفاتي تشهد على ذلك، أقولها مذكّرا وليس تباهيا أو أنني أمنّ بها على وطني…في حين سيدخلها مبجّلا الصهيوني برنارد ليفي عرّاب الفوضى الخلاقة في العالم العربي عموما والجزائر خصوصا.
كتبي ستباع في المعرض الدولي وليس من حقي الحضور لتوقيعها بدعوى ظالمة ويحضر برنارد ليفي بدعوة خاصة. أبعد هذا يمكن أن نزعم أن الجزائر بخير!!!!!!!
سفيان عبد اللطيف



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عدد التعليقات: 2 على “جريدة صدى وهران: حلال عليهم… وحرام علينا”
  1. rimass on 21 سبتمبر, 2011 8:09 م
    موضوع في منتهى الروعة .انا اشكر جزيل الشكر الصحفي صفيان عبد اللطيف
  2. rimass on 21 سبتمبر, 2011 8:10 م
    موضوع قمة في منتهى الروعة انا اشكر الصحفي صفيان عبد اللطيف جزيل الشكر






    Salah Derradji (El Khroub)

    Les habitants sans eau depuis près de deux mois

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    le 22.04.14 | 10h00 Réagissez
    | © Souhayla

    La population qui continue de souffrir, appréhende déjà les grosses chaleurs.

    Les habitants de la localité de Saleh Derradji, située à 4 km d’El Khroub, n’ont pas d’eau depuis près de deux mois. Désemparés par cette situation catastrophique, leurs représentants se sont rapprochés de notre rédaction pour attirer l’attention des services concernés. Ils sont contraints d’acheter des fûts de 200 litres, à 100 DA l’unité, contenant de l’eau dont, disent-ils, ils ignorent l’origine. Ils utilisent cette eau juste pour se laver et pour les besoins du ménage. «Ça nous coûte les yeux de la tête, et pour boire nous achetons de l’eau minérale», fulmine un des plaignants, qui ajoute : «Nous avons contacté la société des eaux et de l’assainissement (Seaco) à plusieurs reprises, mais à chaque fois ils nous demandent de patienter. En outre les camions-citernes acheminés par la Seaco pour alimenter la population en AEP ne sont pas suffisants. Il y a 750 logements évolutifs, sans compter que les familles nombreuses sont légion, ajoutez à cela l’école primaire et le CEM.»
    Notre interlocuteur a précisé que durant cette pénurie d’eau, ils ont quand même continué à recevoir des factures, et ceux, dit-il, qui ont refusé de payer ont été poursuivis en justice par la Seaco. Pour avoir plus de précisions sur cette coupure d’eau qui dure, nous avons contacté la cellule de communication de la Seaco. Voici la réponse qui nous a été fournie: «La conduite principale alimentant le village,, dont le diamètre est de 930 mm, a été endommagée suite à un glissement de terrain survenu entre Ouled Rahmoun et Salah Derradji. Les travaux ont duré plus d’un mois à cause de la difficulté de la situation, car nos agents sont en train de réparer 1, 100 km de longueur pour que les dégâts ne se reproduisent plus.»
    Le chargé de communication qui a insisté sur le fait que le problème n’émane pas de la Seaco et qu’il est dû au glissement de terrain en question, a assuré que la population sera alimentée au moyen de citernes fournies par la société jusqu’à la fin des travaux. En outre, notre interlocuteur nous explique la nature des travaux en question : «La conduite principale va être remplacée par deux conduites d’un diamètre de 500 mm chacune et ce, dans le but de diminuer la pression.» Et de conclure : «Nous demandons aux citoyens de patienter et d’être compréhensifs, car c’est pour leur bien.»                                         

    Yousra Salem 
     

    Alors que ses projets sont à la traîne

    L’ENPI cherche-elle un bouc émissaire ?

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    le 22.04.14 | 10h00 Réagissez

    Après tous les dépassements et le grand retard mis dans la livraison des logements et dans l’achèvement de la plupart des projets par l’entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI), son directeur régional, Noureddine Smakdji, semble maintenant chercher un bouc émissaire pour lui imputer tous les problèmes et se mettre ainsi hors de cause.

    C’est l’avis de l’architecte Amine-Redha Benzerroug, qui s’est rapproché de notre rédaction. «J’ai un bureau d’étude et je suis chargé du projet de 328 LSP et de 32 LPP dont le maître de l’ouvrage est l’ENPI de Constantine. Je me retrouve démuni face à un blocage dont le principal auteur est le directeur régional de cette entreprise», nous a-t-il déclaré. Et d’expliquer : «J’étais très surpris quand ce monsieur nous a envoyé injustement deux mises en demeure (dont la dernière n°2 a fait l’objet d’une publication officielle dans les quotidiens En-nasr et El Acil), alors que nous dirigeons encore le chantier et son avancée ; nous dressons les attachements, nous vérifions les situations des ETB et nous établissons les propositions de leur payement. Pis encore, ce directeur, aveuglé par une colère injustifié, nous a adressé deux mises en demeure portant le même numéro 2, mais dont le contenu est différent.»
    Il martèle encore : «Est-ce régulier ce qu’il est en train de faire? Et ces agissements sont-ils dignes d’un responsable ? Mois je sais qu’il veut tout simplement me faire endosser ce retard.» Notre interlocuteur nous a informé qu’il a envoyé un courrier en réponse à cette mise en demeure, expliquant qu’aucune absence de l’architecte n’a été enregistrée sur le site, et ce, d’autant plus il y a eu les P.-V. de visites de chantier et les rapports mensuels transmis aux fins de règlement de la note d’honoraire portant n°25 et approuvée récemment par le directeur régional.
    Excédé, l’architecte rappelle encore : «En outre, face à ce retard qu’accuse le chantier, nous n’avons pas cessé de rappeler au directeur régional la nécessité de booster le projet et de lever les obstacles qui l’entravent, mais comme d’habitude c’est resté lettre morte. Aucune initiative rigoureuse n’a été prise de sa part pour le lancement des 32 logements promotionnels, en plus des 36/142/328 qui restent au stade de maquette alors que depuis son arrivée nous n’avons cessé de lui rappeler la nécessité de lever cette contrainte sur laquelle bute encore le projet.»
    Rappelons, par ailleurs, que ce projet a été entamé il y a huit ans (en 2006) ; les logements devaient être livrés en 2008, selon le délai contractuel fixé par le maître de l’ouvrage. Mais, comme on le constate, le retard est pour le moins impressionnant. Les projets sont toujours en souffrance à cause de la défaillance de certaines entreprises qui enregistrent un taux de réalisation qui ne dépasse pas les 60%. Notre interlocuteur demande l’intervention de responsables en haut lieu afin de débloquer rapidement cette situation infernale. Nos tentatives de joindre le responsable régional de l’ENPI pour avoir son avis sur cette affaire sont demeurées vaines.                                      

    Yousra Salem
     

    Les points Sidi Rached et Sidi M'cid, 102 ans d'existence

    Un évènement passé dans l’indifférence

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    le 20.04.14 | 10h00 1 réaction

    Hier, c’était le 102ème anniversaire de l’achèvement des deux plus importants ponts de Constantine, en l’occurrence Sidi Rached et Sidi M’cid.

    Ils ont été inaugurés un 19 avril 1912 sous l’égide du maire de l’époque, Emile Morinaud. Ce dernier, qui a été maire de la ville des Ponts durant plus de 30 ans (de 1901 à 1935) a fait relier les deux rives nord et sud du Rhummel pour rendre la totalité de la ville du Vieux Rocher accessible à ses riverains.
    Malheureusement, encore une fois, un évènement crucial pour Constantine, laquelle entame pourtant les festivités du mois du Patrimoine, est passé inaperçu, aussi bien par les autorités concernées que par ses habitants. Ces deux ouvrages, des chef-d’œuvres architecturaux font, il faut le souligner, la renommée de cette ville millénaire. Le pont suspendu de Sidi M’cid enjambe le Rhummel à 175 m. Sa longueur est de 164 m et sa largeur de 5,70 m.
    Conçu pour supporter une charge de 17 tonnes, il a été réalisé par l’ingénieur Ferdinand Arnodin, par le biais de l’entreprise Witte. Le pont Sidi Rached, quant à lui, est un viaduc routier en pierres de taille, construit de 1908 à 1912 par l’ingénieur Paul Séjourné. Il est composé de deux séries parallèles de 27 arches inégales de 4 m d’épaisseur. Il faut dire que cet évènement a été rappelé aux citoyens par les membres de l’association libre «Constantine, ma ville», qui n’avaient pas omis de fêter, en 2012, le centenaire des deux ponts, avec des feux d’artifices, notamment.
    Ils nous ont d’ailleurs fait savoir qu’ils ont essayé de convaincre le secrétaire général de l’APC et le P/APW pour commémorer cet anniversaire, mais en vain. Pour rappel, ce n’est pas la première fois que les responsables de la ville de Constantine oublient ou négligent de tels évènements, sachant que l’année écoulée, ils ont raté le 17ème siècle de la nomination de la ville de Constantine, en référence à son fondateur, Constantin 1er Le Grand.                                      

    Yousra Salem
     
     
    Vos réactions 1
    L'échotier   le 21.04.14 | 08h10
    Hé oui
    Paul séjourné, l'ingénieur français d'Orléans, ville où je demueure actuellement, est connu sur la place et célébré. Pas à Constantine, ville dirigée par des incultes corrompus. C'est la différence. De plus, célébrer ces centenaires, c'est montrer toute l'étendue entre le génie, le savoir et l'incompétence et la petitesse. 

    La ville en parle : Super Thazir !

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    le 20.04.14 | 10h00 Réagissez

    Il s’appelle Rachid Thazir, il est promoteur et il tient en otage plus de 300 familles.

    Son projet de construction de logements standing, situé dans la banlieue d’Aïn Smara, traîne depuis 2006 et devient une source de malheur pour ces familles qui souffrent le martyre face à cette situation ubuesque. Certains sont dans l’attente depuis huit ans. Des enseignants universitaires, des médecins, des cadres de la classe moyenne ont investi toutes leurs économies pour réaliser leur rêve de posséder un toit qui sied à leur condition.
    Mais au fil des ans, le rêve est devenu cauchemar devant le refus du promoteur d’honorer sa part du contrat alors qu’il a été payé rubis sur l’ongle. Selon les contrats établis pour les clients, le délai de livraison est fixé à 24 mois. Le chantier a démarré, et les clients sont passés à la caisse. Plusieurs majorations ont été décidées par la suite à leur insu, révisant le prix qui passe la barre de 5,7 millions de dinars, soit 1,5 million de dinars de plus que prévu.
    Passons sur le chantage qui sous-tend ces augmentations. Vous ne payez pas, vous perdez votre logement, c’est la loi du marché où les codes de la République ne protègent guère le client. Les promoteurs de Constantine le savent fort bien et ils profitent de la situation pour sucer le sang des prétendants, dans l’impunité totale. «Nous avons payé dans l’espoir de la livraison, mais il nous mène en bateau avec des promesses sans lendemain», s’indigne un acquéreur, ruiné par la location. Thazir ne montre pas la moindre sensibilité à la détresse des gens. Ses clients prennent leur mal en patience et résistent depuis des années en attendant de voir le bout du tunnel.
    En février dernier, ils ont reçu des convocations les invitants à s’acquitter des dernières tranches de payement avec la promesse d’une remise des clés en mars. Ils se sont exécutés, caressant l’espoir d’un dénouement proche. Que nenni ! Mars est derrière nous et les clés se trouvent toujours chez lui. «Nous sommes allés le voir pour demander des explications sur ce énième retard, mais au lieu d’une réponse rassurante il a nié avoir fait la promesse, c’est une escroquerie ! », se révolte un acquéreur, parmi le groupe que nous avons rencontré hier. L’histoire tourne au vinaigre car manifestement il y a abus. Les acquéreurs se rebiffent enfin.
    Hier, ils étaient une quarantaine partis au siège de l’entreprise pour s’expliquer avec le promoteur. «Il nous a fait poireauter pendant une heure et enfin il est apparu et nous a parlé pendant une minute, avec un langage violent et vulgaire . Foutez-moi la paix ! Il nous a dit », raconte un autre, encore sous le choc de la scène. «Quand est-ce qu’on aura nos logements ? en 2022 ?», l’interroge l’un d’eux. «Pourquoi pas !» lui a-t-il répondu. Il utilisera en outre des mots vulgaires pour leur parler et les renvoyer de chez lui, témoigne un acquéreur.
    Alors non seulement ce promoteur empêche des citoyens d’accéder à leur propriété, en plus il ose les insulter avec un langage ordurier digne des mercenaires du Far west. Voici le modèle de réussite qui a pignon sur rue depuis quinze ans à Constantine. Il a le vent en poupe et se croit intouchable, aidé en cela par la mauvaise gouvernance et l’impuissance des gens simples. Cette fois, cependant, les acquéreurs semblent enfin débarrassés de leur candeur pour reprendre leurs droits. D’ailleurs ils comptent revenir samedi prochain plus nombreux pour exiger leur droit. 
    Nouri Nesrouche
     
     
    A la une Actualité
     

    Journalistes d’El Watan agressés à Khenchela

    Qui a commandité la barbouzade ?

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    le 19.04.14 | 10h00 3 réactions

    Les agresseurs vils et lâches qui ont pris pour cibles des journalistes d’El Watan en mission à Khenchela ont un visage.

    Ils sont identifiés et bien connus des services de la sûreté de wilaya. Complicité ou, plus grave encore, s’agit-il de policiers ? En tout cas, les faits sont pour le moins troublants. Que s’est-il passé ? Envoyés en mission dans la ville de Khenchela pour couvrir l’élection présidentielle, Meziane Abane et Samy Methni (journalistes) et Camille Millerand (photographe stagiaire) ont été pris en chasse par des individus, insultés et menacés de mort. Acte barbare de la part d’une bande de barbouzes zélés, chargés de mission par ceux qui avaient intérêt à ce que la presse ne vienne pas fouiner là où on a caché des choses.
    C’est une évidence, les voyous qui ont agressé nos journalistes n’ont pas agi seuls ni spontanément. L’acte a été commandité et la responsabilité, de la police du moins, est engagée dans cette affaire. Sinon, comment interpréter l’impunité dont a bénéficié le chef des agresseurs et le fait que les plaignants soient retenus dans le commissariat, à leur insu, pendant plus de huit heures ?
    La mésaventure a commencé à la sortie de la permanence du candidat Ali Benflis où nos reporters ont reçu des rapports sur plusieurs cas de fraude. Auparavant, ils avaient interrogé le chef de cabinet de la wilaya, lequel était visiblement très gêné par les questions des journalistes, notamment celles concernant des cas de bourrage d’urnes et d’expulsion de représentants de Benflis des bureaux de vote.
    A la sortie du siège de la wilaya, notre staff est pris en filature, témoigne Samy Methni. «Après avoir vu les représentants de Benflis, nous avons décidé d’aller voir du côté de la direction de campagne de Bouteflika. Sur le chemin, une voiture blanche de marque Greatwall est venue rouler à côté de notre véhicule. Le conducteur a commencé à nous insulter, nous traitant de fauteurs de troubles. Je lui ai demandé de décliner son identité, il s’est présenté alors comme étant le président de la société civile locale. J’ai accéléré, essayant de me débarrasser de lui, mais au bout d’un moment il est réapparu dans une autre voiture blanche, une Logan, cette fois accompagné de trois individus qui ont commencé à nous jeter des pierres et des bouteilles vides, incitant les passants à nous barrer la route et les appelant à nous tuer.»
    Les victimes traitées comme des suspects !
    Ici commence une course-poursuite hollywoodienne, témoigne Mohamed Taïbi, journaliste et membre de l’Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC) à Khenchela, lequel accompagnait les journalistes d’El Watan. C’est lui d’ailleurs qui va guider le véhicule d’El Watan jusqu’au commissariat le plus proche, où le groupe a trouvé refuge.
    Les agresseurs, n’ayant pas froid aux yeux, sont venus se garer, eux aussi, devant le commissariat et le plus zélé est descendu pour s’en prendre physiquement aux journalistes qui ont commencé à crier pour faire intervenir les policiers. Mais ces derniers arrivaient nonchalamment.
    Curieux et même choquant : les agresseurs ont pénétré à l’intérieur du commissariat, décidés à en découdre avec les journalistes, mais à aucun moment ils n’ont été inquiétés par les policiers, témoigne encore Mohamed Taïbi. D’ailleurs, la plainte de nos journalistes a été enregistrée contre X ! «La Greatwall appartient à un policier», témoigne encore Sami Methni. «Alors que nous étions retenus dans le commissariat, j’ai vu cette voiture garée à l’extérieur, j’ai demandé alors à un policier à qui elle était et il m’a affirmé qu’elle appartenait au service !» D’autres témoins, ont remarqué le même véhicule stationné devant le même commissariat vendredi matin.
    En dépit de la saisine de la DGSN par la direction d’El Watan et les nombreux contacts avec le commissariat central de Khenchela, nos journalistes ont été retenus plus de huit heures dans les locaux de la police. Traités correctement certes, mais la longueur des auditions et la nature des questions ont fini par donner le sentiment aux victimes d’être des suspects. C’est incroyable mais c’est ainsi que les officiers du général Hamel conçoivent leur mission à Khenchela. Honteux ! Une chose est sûre : la société civile et la population de Khenchela n’ont rien à voir avec ces énergumènes qui se sont attaqués à des journalistes en mission.
    Nouri Nesrouche
     
     
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    da_hamou   le 19.04.14 | 14h21
    Une mafia locale et nationale
    Il y a quelques années, les frérots voulaient nous imposer leurs manières.
    Aujourd'hui, chaque autorité locale veut nous soumettre à ses ordres.
    C'est un avant-goût de lendemains qui déchantent!
     
    partance   le 19.04.14 | 13h37
    Djilali Hadjadj, à partir de Khenchela
    Nous avons identifié ce matin un des agresseurs. Nous sommes disposés à en communiquer le nom à nos amis d'El Watan. Par ailleurs, nous estimons qu'il est opportun qu'El Watan donne une suite à sa plainte contre "X", d'autant plus que "X" n'est plus une inconnue : la DGSN doit être informée de cette nouvelle donne. Cette agression, dont les commanditaires sont identifiables, aurait pu avoir des conséquences plus graves : elle ne doit pas rester impunie !!!!
     
    partance   le 19.04.14 | 13h13
    Un des agresseurs identifié !!!
    Message de Djilali Hadjadj, à partir de Khenchela

    Nous avons identifié un des agresseurs . Nous sommes disposés à communiquer son nom à nos amis d'El Watan. Il nous semble important qu'El Watan donne des suites à sa plainte contre "X" et informe" la DGSN de la nouvelle donne.
     

    Didouche Mourad : 100 habitations menacées d’effondrement à Sidi Arab

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    le 20.04.14 | 10h00 Réagissez
    | © Souhayla

    L’expertise du CTC a conclu que le glissement de terrain avait atteint des proportions dangereuses.

    Près de 100 habitations sur les 700 que compte la mechta de Sidi Arab qui surplombe la ville de Didouche Mourad, sont menacées d’effondrement suite à un important glissement de terrain provoqué par l’exploitation depuis 2001, d’un gisement de terre argileuse situé en amont de leur village. Ce gisement est exploité par l’entreprise Safcer pour les besoins de son usine de fabrication de faïence domiciliée à Sétif, mais aussi pour sa briqueterie implantée à la zone industrielle Aïssa Ben H’mida, à Didouche Mourad.
    «La situation a commencé à devenir inquiétante à partir de 2006 lorsque des fissures sont apparues sur certaines habitations et que la route qui relie le village à Didouche Mourad a été complètement ensevelie par des éboulements à répétition du terrain situé en contrebas de Sidi Arab», nous a déclaré le représentant des habitants, Abdelmalek Khenaine. Ce dernier nous a accompagné pour nous montrer l’ampleur des dégâts causé à son village par l’exploitation «outrancière», selon lui, de ce gisement.
    Notre interlocuteur précise qu’à cette époque, les riverains avaient alerté les autorités locales, en l’occurrence le maire de la ville, pour qu’il prenne des mesures afin d’arrêter l’exploitation du gisement avant que la situation n’empire. «Mais rien n’a été fait», affirment les habitants. Bien au contraire, l’entreprise Safcer a accéléré la cadence, ce qui a provoqué en 2011 la rupture du réseau d’évacuation des eaux usées du village et des dommages à un pylône électrique haute tension lequel a été déplacé par la Sonelgaz pour être installé en bordure des habitations. «C’est à cette époque qu’ils ont décidé de mettre un terme à cette situation en intervenant par la force pour empêcher l’entreprise Safcer de continuer à exploiter le gisement», nous diront les habitants. Mais le mal était déjà fait.
    La commission diligentée par la wilaya suite à leur mouvement de colère, et après expertise du CTC, a conclu que le glissement de terrain avait atteint des proportions alarmantes mettant en danger la vie même des habitants. Des propos confirmés par Tahar Boucheham, P/APC de Didouche Mourad. Ce dernier a précisé qu’«en 2011 avec la fin de la concession d’exploitation du gisement l’entreprise Safcer devait faire une étude de remise en état avant de quitter les lieux mais celle-ci n’a toujours pas présenté de dossier à la direction des mines». Et d’ajouter : «Effectivement une expertise réalisée par le service de contrôle technique des constructions (CTC) avait conclu la même année que neuf habitations de Sidi Arab présentaient des risques d’effondrement et que ses services avaient procédé au détournement du réseau d’évacuation des eaux usées à Sidi Arab qui avait subi de graves dommages.»
    Le maire de Didouche Mourad a indiqué d’autre part, qu’une seconde expertise effectuée par la direction des mines et le CTC dimanche passé devrait établir avec exactitude l’ampleur des dégâts occasionnés par le glissement de terrain et définir les moyens à mettre en œuvre pour endiguer le phénomène. Mais d’ores et déjà, soulignera-t-il, la solution d’urgence est de clôturer d’abord la partie supérieure du gisement et procéder ensuite à l’évidement des lacs créés par son exploitation qui constituent un danger permanent pour les habitants d’autant qu’un enfant s’y est noyé en 2012. «Des mesures qui nécessitent des moyens colossaux auxquels les pouvoirs publics et l’entreprise Safcer doivent contribuer», ajoutera le maire de Didouche Mourad.  Il serait utile de rappeler d’autre part que les dégâts occasionnés par Safcer dans la région ne se limitent pas au glissement de terrain de Sid Arab.
    Une dizaine d’habitations de la cité des 116 Logements évolutifs à Didouche Mourad situés sur une butte surplombant la zone industrielle Aïssa Ben H’mida menacent de s’écrouler à tout moment suite à un affaissement de terrain provoqué également par des travaux de terrassement entrepris il y a une dizaine d’années par cette entreprise. Précisons, par ailleurs, que nous avons tenté, en vain, de prendre rendez-vous avec les responsables de Safcer pour des éclaircissements sur cette affaire.

    F. Raoui
     
    المختصر/ أعلنت الحكومة الفلسطينية في قطاع غزة أن إدارة السجون "الإسرائيلية" وضعت كاميرات مراقبة في قسم الأسيرات الفلسطينيات في سجن هشارون، في إجراء وصفته بـ "اللا أخلاقي".وقالت وزيرة المرأة في الحكومة التي تديرها حركة "حماس" جميلة الشنطي: إن السلطات "الإسرائيلية"، قامت بتركيب كاميرات مراقبة في ساحات الفورة في قسم الأسيرات بسجن هشارون، معتبرة أن "هذا الأجراء التعسفي بحق الأسيرات غير أخلاقي وأن الهدف منه إيذاء الأسيرات واستفزازهن".وأضاف الشنطي في بيان نقلته وكالة "يونايتد برس انترناشونال" أن "متابعة خصوصية الأسيرات إنما هو تعدٍّ على الحقوق الإنسانية والقانونية التي يتغني بها الاحتلال "الإسرائيلي" والمنظمات الدولية الداعية لاحترام حقوق الإنسان على اختلافها".وتابعت: "رسالتنا للاحتلال "الإسرائيلي" أن عليه أن يتيقن بأن كل ما يقوم به بحق أسرانا وأسيراتنا لن ينال منا، بل هو دافع أقوى لاستمرار مقاومة الاحتلال واسترداد حقوقنا المشروعة وتبييض السجون من كافة الأسرى والأسيرات".يذكر أنه في الأسبوع الماضي أفرج عن 27 أسيرة فلسطينية ضمن الدفعة الأولى من الأسرى المفرج عنهم في إطار صفقة لتبادل الأسرى مع حركة "حماس"، فيما بقيت تسع أسيرات قال قياديون بالحركة الإسلامية: إنه سيجري إطلاقهن لاحقًا.وكان عدم الإفراج عن الأسيرات التسع قد أثار جدلاً عزته "حماس" إلى أن "إسرائيل" قدمت معلومات مغلوطة بشأن عدد الأسيرات بالسجون "الإسرائيلية". وقد سمح لـ 25 من الأسيرات المحررات بالعودة إلى منازلهن في غزة والضفة الغربية والقدس. أما الأسيرتان المتبقيتان، فنقلتا إلى الأردن وغزة. ومن المقرر أن يتم خلال شهرين الإفراج عن الدفعة الثانية من الأسرى البالغ عددهم 550 أسيرًا.
    المصدر: مفكرة الإسلام

    سلطات الاحتلال تشرع بوضع كاميرات مراقبة في المسجد الأقصى

    الخميس, كانون الثاني (يناير) 30, 2014 - 10:51 بتوقيت جرينتش
    الجمهور - وكالات
    حذرت "مؤسسة الأقصى للوقف والتراث" الناشطة المتخصصة في شؤون المقدسات الإسلامية في الأراضي الفلسطينية المحتلة عام 1948، من محاولة سلطات الاحتلال وضع كاميرات مراقبة في المسجد الأقصى.
    وقالت المؤسسة في بيان صحفي لها اليوم الخميس (30|1): "إن طواقم الاحتلال حاولوا ظهر أمس الأربعاء وضع كاميرات مراقبة على سور المسجد الأقصى الشمالي أي بمحاذاة المدرسة الشرعية بالإضافة إلى كاميرات جديدة عند مخفر شرطة الاحتلال الواقع على صحن قبة الصخرة، لتضاف إلى الكاميرات التي تم تركيبها في الفترة الماضية، حيث تكشف كامل مساحة قبة الصخرة بالإضافة إلى منطقة الأشجار على طول الجهة الشمالية للمسجد الأقصى".
    وأضافت أن الطواقم الفنية للشرطة الإسرائيلية حاولت الدخول إلى داخل المسجد الأقصى من أجل تركيب الكاميرات، غير أن حراس دائرة الأوقاف منعوهم من ذلك ما تسبب في خلق أجواء من التوتر بين الجانبين.
    وأكدت أنها تنظر إلى هذه الخطوة بعين الخطورة والحذر، خاصة وأنها تأتي للمرة الثانية التي ينصب فيها الاحتلال كاميراته داخل حدود المسجد الأقصى، مؤكدة أن هذا الانتهاك يندرج ضمن مخطط تثبيت سيادة الاحتلال الإسرائيلي على المسجد الأقصى بهدف تقسيمه والنيل منه.
    وطالبت المؤسسة، سلطات الاحتلال بإزالة كل كاميراته عن المسجد الأقصى لأن ذلك يشير إلى أن الاحتلال أعطى لنفسه الضوء الأخضر لفعل ما يحلو له في المكان، الأمر الذي يؤكد سعيه لتنفيذ مخططات أخطر وأشد بحقه في الأيام القريبة.

     سكان بلدية أميه ونسة يشتكون نهب العقار
    منذ 23 ساعة 15 دقيقة
    ق.م
    يشكي سكان بلدية أميه ونسة من تنامي ظاهرة الاعتداء اليومي والعشوائي على العقار العمومي بالبلدية . وأوضح بعض سكان البلدية أن مافيا العقار تنزف يوميا المساحات البيضاء الموجهة أصلا مستقبلا للمشاريع العمومية مما يجعل العقار رهينة لدى هذه المافيا التي تنشط بشكل فوضوي وسري دون أن تحرك السلطات المحلية حسبهم ساكنا لوقفهم عند دهم وضمان الوعاء العقاري للمشاريع التنموية المستقبلية.



    ويستغل هؤلاء القرى البعيدة والأحياء النائية للاستيلاء عن هذا العقار ومن ثم بيعه مستقبلا بأسعار باهظة تتجاوز 200 مليون سنتيم للقطعة الواحدة بعدما لا يكون هو خسر عليه إلاّ 2 مليون سنتيم فقط لإجراء الوثائق العرفية الشكلية له.



    وطالب السكان والي الولاية التدخل قصد تفعيل آليات الرقابة اليومية لحماية أملاك الدولة بهذه البلدية النائية وردع المخالفين والمتاجرين بالعقار العمومي .

    Adeb Nidine · El Oued
    هؤلاء السكان الذين تتكلم الجريدة باسمهم ناس البخل ملاا جلودهم او كما يقولون الذئب الاعتر يحب كل الذئاب عتر ما دخل هؤلاء فى عقار ليس ملكهم ولا يتحكمون فى شئ منه افعلوا كما يفعلون او اصمتوا واتركوا الناس تفعل فعلها ما دام انه ليس هناك من يحمى هذاالعقار ثم اليس المساحات المتوفرة فى الولاية تساوى مساحة دولة او حتى عدة دول صغيرة كفاكم بخل ايها البخلاء
     

    La pratique est revenue à la mode
    «La Hedjama» pour guérir de l’hépatite virale
    La scarification, ou la «Hedjama» dans le langage populaire, méthode traditionnelle de traitement de l’hépatite virale, est en vogue à Oran. Plusieurs personnes atteintes de la maladie croient en cette pratique qui consiste à réaliser des incisions superficielles cutanées, par des guérisseurs à l’aide d’une lame à rasoir.
    L’opération sur des parties du corps est considérée comme
    le traitement le plus efficace pour l’hépatite virale normale, la «noire» et la jaunisse, a-t-on déclaré à l’APS. Des spécialistes de l’hépatite virale indiquent qu’un taux de 10 % seulement des malades affectés par cette pathologie ont été pris en charge dans des établissements hospitaliers d’Oran en 2013, alors que 90% ont eu recours à des séances de scarification ou à des plantes médicinales. Au CHU Oran, à l’établissement hospitalier universitaire (EHU) «1er-Novembre 1954» et à l’établissement spécialisé de pédiatrie d’El Menzeh (ex- Canastel), 132 cas d’hépatite virale «A» ont été pris en charge en 2013, en majorité des enfants soit, 84 %, a indiqué le chef de service prévention à la direction de la santé et de la population d’Oran, Dr Deharib Larbi. Concernant l’hépatite virale B et C qui touche les adultes et qui ne peut pas être traitée par des moyens traditionnels, la prise en charge a été de 100% l’année dernière au service de gastro-entérologie du CHU Oran, selon la même source.
    Des lieux aménagés
    pour les séances
    de scarification
    Encouragés par l’engouement des ci
    toyens pour la méthode traditionnelle de traitement de la jaunisse, des «guérisseurs» s’évertuent à aménager des lieux pour les séances de scarification au sein même de leurs maisons. Ces lieux prolifèrent notamment dans les localités de «Nedjma» (ex-Chteibo), de «Ain El Beida», dans la commune d’Es -Sénia et des villages relevant de la commune de Bethioua. Les séances se passent dans des chambres, des garages, des préaux, où les conditions d’hygiène laissent à désirer, a-t-on constaté. Mieux encore, de tels guérisseurs sont ambulants dans des zones éloignées. D’autres dressent tout bonnement des tentes et utilisent des hauts parleurs pour faire la promotion de leur activité. En général, la scarification est pratiquée par des vieux. Des femmes s’en font également une source de revenus et un commerce fort lucratif. La séance qui prend jusqu’à 30 minutes est payée à hauteur de 500 à 1000 dinars. Pour subir cette pratique, le malade doit être à jeun. L’opération consiste à faire des égratignures sur le front, ou l’abdomen, à l’aide d’un rasoir, d’une aiguille ou d’un canif. Certains utilisent des branches de laurier chauffées et lubrifiées à l’huile d’olive qu’ils posent sur l’abdomen du malade. Généralement, la même recette est prescrite au malade qui subit une séance de scarification, auquel il est déconseillé de manger du jaune d’œuf. Parmi les symptômes de l’hépatite virale, une pâleur du visage, un ictère et une couleur jaune dans l’urine, selon le professeur Benaama Aicha, chercheuse à l’unité de recherche en sciences sociales de l’université d’Oran. Selon le service de prévention à la direction de la santé de la wilaya, trois décès d’enfants ont été déplorés au dernier trimestre 2013 suite à des séances de scarification où le malade avale des surdoses de la plante «mélisse».
    Pourquoi le recours
    à cette thérapie alternative ?
    En dépit de l’amélioration des presta
    tions médicales en matière de prise en charge des malades d’hépatite virale dans les hôpitaux d’Oran, dont l’EHU «1er novembre» où a été pratiquée une première greffe du foie à une personne atteinte d’hépatite, et de la disponibilité de médicaments à titre gracieux, les malades ont toujours recours à la thérapie traditionnelle. Des dizaines de malades de différents âges et de rangs sociaux en quête d’une guérison rapide se livrent à ces séances quotidiennement. Dans une maison où se pratique cette méthode traditionnelle à hai «El Hassi», des malades attendant leur tour, soulignent que la guérison de la jaunisse par la scarification est garantie, partant d’une croyance que ses pratiquants ont «la baraka» héritée des ancêtres. Leur prouesse est prouvée, dit-on. L’engouement pour ce procédé est favorisé, dans la plupart des cas, par un sentiment de désespoir quant à une guérison. Il y a aussi l’effet d’entraînement qu’exerce le guérisseur se prévalant capable de délivrer le malade de cette pathologie. Des formules magiques sont utilisées dans ce sens selon tout un rituel gagnant la confiance du malade et de ses proches et imprégnant une «légitimité sociale» à la pratique, comme l’explique la chercheuse Benaama Aicha. Le guérisseur introduit également une touche mystique aux séances de scarification renforçant la croyance du malade à une guérison certaine et dégageant sa responsabilité en cas de mauvaise tournure», a-elle ajouté. La confiance du malade est acquise aussi par le temps que prend le guérisseur à l’écouter avec passion. Un genre de psychothérapie, selon le professeur Benaama qui souligne que la majorité des malades trouvent ce traitement facile et rapide leur épargnant de sempiternels déplacements contraignants vers les hôpitaux pour des tests ou l’hospitalisation. Dans ce sens, Dr Gasmi Nassima du service de médecine légale du CHU Oran indique que si les médicaments sont offerts gratuitement aux hôpitaux, les analyses de sang relatives à l’hépatite virale sont coûteuses et que le malade ne peut, par conséquent, se payer des analyses périodiques pour contrôler son état. Le remboursement des frais d’analyses reste dérisoire, ce qui nécessite une révision par la Caisse nationale d’assurance sociale (CNAS) pour encourager le malade à poursuivre son traitement aux hôpitaux et à ne pas recourir à la médecine alternative, voire traditionnelle peu coûteuse mais aux conséquences parfois néfastes.
    La pratique comporte
    bien des risques
    Si la contagion en hépatite virale C se
    transmet par le sang contaminé, la scarification où sont utilisés des objets contendants non stérilisés constitue un réel danger favorisant la transmission la maladie d4une personne à une autre. Dr Hakem Chahrezad chef du service gastro-entérologie au CHU Oran met en garde les malades atteints d’hépatite virale des trois genres contre le traitement traditionnel les appelant à éviter les séances de scarification.
    Plusieurs médecins qui auscultent les malades atteints d’hépatite virale à l’hôpital observent, chez certains, des séquelles de cicatrices à l’abdomen, sachant qu’il n’existe pas de vaccin contre l’hépatite C à travers le monde et que si elle n’est pas traitée, elle évolue à un durcissement du foie et par la suite à un cancer du foie. Pour rappel, l’hépatite virale se transmet par une consommation de l’eau non contrôlée ou des aliments impropres. L’hépatite B se transmet par voie sexuelle ou par le sang. Son vaccin est disponible et admis au calendrier de vaccination.
    L’hépatite C est transmissible par le sang et l’usage de moyens contagieux. Il n’existe pas de vaccin contre ce type de maladie, selon les spécialistes. En matière de prévention, des campagnes de sensibilisation et d’information de grande envergure sont souhaitables à travers des médias de proximité.
    Il est question notamment de la radio pour sensibiliser également contre les dangers du traitement traditionnel sur la santé publique, a insisté la chercheuse Benaama Aicha du centre de recherche en sociologie de l’université d’Oran.
    Par ailleurs, la lutte contre cette maladie silencieuse doit se faire aussi par le dépistage précoce en orientant les malades en temps opportun vers les hôpitaux et leur suivi, a conclu le chef du bureau d’Oran de l’association des personnes atteintes d’hépatite virale.

    Modernisation des services de la CNAS
    La télé-déclaration un nouvel avantage pour les employeurs
    La caisse nationale des assurances sociales (CNAS) a mis en service un système de télé-déclaration des salariés. La mise en œuvre de ce nouveau procédé s’inscrit dans le cadre de la stratégie de modernisation et de l’amélioration continue du service public, notamment, la facilitation des procédures de déclaration des cotisations de sécurité sociale, a indiqué, hier, le directeur de la CNAS d’Oran, M. Benaicha Mohamed.
    Cette opération première en genre a été lancée le 16 avril dernier à travers le territoire national et s’inscrit selon M. Zerrouki Karim responsable de la caisse nationale de recouvrement des cotisations sécurité sociale (CNRSS) à Oran, dans le cadre de débureaucratiser davantage la déclaration des salariés et des salaires, alors que la CNAS a offert une importance auparavant aux assurés dans le cadre de plusieurs systèmes comme la carte Chifa, il était temps de se concentrer sur les employeurs. La télé-déclaration permettra à tout employeur de déclarer les travailleurs à la Sécurité sociale, en quelques clics et sans se déplacer au siège de la CNAS, ce qui permettra aux employeurs d’avoir un gain de temps et de ne pas faire des déplacements éprouvants, explique M. Zerrouki. A noter également que ce système est permis via le site Web www.cnrss.dz totalement sécurisé H24 et 7j/7.
    Cet avantage permettra aux employeurs de bénéficier à distance des mêmes services de déclaration fournis au niveau de leurs agences d’affiliation. Il est à noter également que l’employeur n’est pas tenu d’aller à l’agence d’affiliation dans les 30 jours qui suivent la fin de chaque année, une déclaration nominative des salaires et des salariés, faisant ressortir les rémunérations perçues du premier au dernier jour de l’année ainsi que le montant des cotisations dues, est disponible sur le site internet, selon les explications de M. Benaicha. Pour rappel, L’employeur est tenu de déclarer et de verser ses cotisations à la sécurité sociale dans les trente (30) jours qui suivent l’échéance de chaque trimestre s’il emploie moins de dix (10) salariés, de chaque mois s’il emploie plus de dix (10) salariés selon l’article 17 de la loi n°83-14 du 2 juillet 1983. Par ailleurs, la CNAS prévoit d’organiser plusieurs ateliers afin d’informer les différents employeurs de l’existence de ce système de télé-déclaration qui a nécessité plus de deux ans de travail minutieux afin de permettre une déclaration simple et rapide, et un envoi sécurisé des données suivi d’un accusé de réception. Les informaticiens de la CNAS sont également mis à la disposition des employeurs qui peuvent se déplacer au niveau de leurs agences d’affiliation pour recevoir plus d’informations et d’explications sur ce nouveau système, ainsi que d’avoir des identifiants afin de commencer l’opération de télé-déclaration. Le site web contient également un guide pratique afin d’expliquer les différentes étapes de déclaration.
    Mohamed Hamza
     
    tarif
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